travaux difficiles APIC RSE

« Même une petite société doit pouvoir démontrer qu’elle se préoccupe de RSE»

Yann Lebreton

Basée à Meudon, APIC est une entreprise spécialisée dans les travaux en accès difficile et intervient notamment dans le nettoyage de façades et pour le bâtiment. Elle réalise environ 2 millions d’euros de chiffre d’affaires par an et emploie l’équivalent de 25 personnes à temps plein. Yann Lebreton, son directeur général, a utilisé la solution TPE d’ABCSR pour mesurer sa contribution RSE.

Pourquoi avoir fait appel à ABCSR ?

Nous travaillons pour de grands donneurs d’ordre. Quand ils répondent à des appels d’offre où le client souhaite travailler avec des acteurs ayant une bonne cote en matière de responsabilité sociétale des entreprises (RSE), ils veulent embarquer des sous-traitants, comme nous, qui se préoccupent du sujet. Même si on est une petite société, on doit être capable de démontrer que l’on s’y intéresse et que l’on a mis des choses en place. Je cherchais donc une solution intelligente pour le faire sans que cela ne me prenne trop de temps.

Comment cela s’est-il passé ?

Mon seul travail a été d’échanger rapidement avec ABCSR et de demander à mon expert-comptable de leur envoyer mon fichier des écritures comptables. Quelques jours après, j’avais les résultats avec un classement, sur une échelle de A à E, qui me permet d’expliquer où j’en suis en matière de RSE et plusieurs indicateurs. Les résultats indiquent ce que l’on génère en termes de CO2, en termes d’emplois y compris indirects,  donc notre poids économique local, et notre contribution sociétale, à savoir le nombre d’étudiants, de chômeurs ou de retraités que l’on finance. C’est très concret.

Comment pensez-vous les utiliser ?

Cela me sert d’abord vis-à-vis de mes donneurs d’ordre. Je dispose d’un vrai outil pour leur montrer que l’on suit les questions de RSE et, je l’espère, que l’on va progresser. Car ces résultats m’ont aussi conduit à me poser quelques questions et à prévoir certains ajustements. Ils me permettent d’avoir un discours structuré auprès des clients en montrant que, non seulement, on maîtrise notre métier, mais on s’intéresse aussi à notre écosystème, ce qui n’est peut-être pas le cas de nos concurrents. Ces indicateurs constituent aussi pour nos équipes un élément de valorisation, de motivation et d’appartenance à APIC. Elles ont été ravies de voir que l’on se préoccupait de ce sujet.

Pourraient-ils constituer un argument vis-à-vis des financeurs ?

Je suis sûr que la RSE deviendra aussi un point important pour obtenir des financements. On entend de plus en plus parler de financement vert. Un de mes banquiers, à qui j’en ai parlé, a d’ailleurs trouvé la solution ABCSR très intéressante.

Quels sont pour vous les principaux intérêts de cette solution ?

Tout le monde commence à être plus sensible aux questions d’écologie et de RSE. Je suis convaincu que mesurer sa contribution sur le sujet deviendra bientôt obligatoire si l’on veut rester dans la course. ABCSR propose une solution simple d’utilisation, basée sur une norme fiable et reconnue, qui permet aux petites entreprises de se mettre au niveau des plus grosses sur le sujet. J’intègre déjà les résultats à la documentation que je fournis pour les appels d’offre. Je vais également les publier sur notre site et peut-être équiper ma flotte de véhicules d’autocollants ABCSR comme je le ferais avec le label Qualibat. C’est un marqueur différenciant pour notre entreprise.